Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

contact

mgdaniort23@gmail.com

Actualité

Drapeau Fr  

 

 

 

  Notre drapeau et notre hymne républicain n'appartiennent pas au front national mais à tous les Français.



 







Archives

Coin presse

Lettre-aux-indignes.jpg 

undefined

18 novembre 2008 2 18 /11 /novembre /2008 06:19

BDMA

Manoeuvres d'isolement au PS. En appelant lundi ses partisans à voter "massivement" en faveur de Martine Aubry, Bertrand Delanoë a fait basculer Ségolène Royal, arrivée en tête du vote des militants, dans la position de "challenger" avant l'élection du prochain premier secrétaire socialiste.

Sorti du congrès de Reims ce week-end sans donner de consigne de vote, le maire de Paris s'est ravisé et a finalement rallié à Martine Aubry, dont la motion était arrivée juste derrière la sienne le 6 novembre.

Bertrand Delanoë a justifié ce revirement par ses "convictions politiques", jugeant que "l'identité même du Parti socialiste" était en jeu. "Ma vision du Parti socialiste n'est pas la même que celle de Ségolène", a-t-il expliqué sur France-Info, rejoignant Martine Aubry, qui a critiqué sur RTL la conception d'un parti "qui doit être derrière une personne".

L'autre point d'achoppement reste l'attitude face au MoDem. Ségolène Royal, qui prône "l'union de la gauche d'abord, la main tendue à tous les humanistes pour battre la droite, ensuite" n'a pas rassuré ses concurrents. Bertrand Delanoë dénonce toujours une "ambiguïté d'alliances avec un parti qui se refuse à différencier la droite de la gauche".

Sur ces deux points, "il y a d'un coté Ségolène Royal et de l'autre tous les autres", a décrit à l'Associated Press Laurence Rossignol, la porte-parole de Martine Aubry. "L'essentiel nous rapproche", a confirmé sur RTL Jean Glavany, proche de Delanoë. Tous nient pourtant l'idée d'un front anti-Royal. "Ca n'est pas un front anti-Royal, c'est un front de défense du Parti socialiste", glisse un cadre "aubriste".

A Reims, Aubry et Delanoë avaient déjà semblé proches d'un accord incluant le troisième candidat, Benoît Hamon. "Nous étions d'accord sur l'essentiel", a assuré Martine Aubry sur RTL.

Mais les négociations avaient tourné court, notamment en raison de la volonté du maire de Paris d'imposer un candidat issu de sa motion. Les leaders socialistes s'étaient donc quittés sans s'accorder sur une ligne politique, s'en remettant à un nouveau vote militant pour désigner leur prochain dirigeant.

L'addition des scores des motions Delanoë et Aubry frise les 50%, contre 29% pour la motion de Royal. L'ancienne candidate à la présidentielle se retrouve "dans la situation de challenger", alors qu'elle était arrivée en tête à Reims, a reconnu la députée des Deux-Sèvres Delphine Batho.

Mais derrière l'arithmétique, "il y a une dynamique militante de notre côté", se rassurait-elle, à trois jours du vote des adhérents, chargés de désigner le successeur de François Hollande.

A ses yeux, l'intervention du maire de Paris prouve que "le vrai enjeu, c'est le débat entre le changement et le statu quo". "Il y a une génération qui ne veut pas passer la main et qui s'accroche", dénonce-t-elle.

L'engagement de Delanoë aux côtés d'Aubry pourrait également réduire le score du troisième candidat Benoît Hamon, le seul qui s'était déclaré avant le congrès. D'autant que certains de ses partisans seront tentés par le "vote utile", espère Claude Bartolone, dans le camp de Martine Aubry.

Reste aussi à savoir ce que feront les quelque 100.000 militants qui n'ont pas voté pour départager les motions.

Laurent Pirot / AP

Partager cet article
Repost0
18 novembre 2008 2 18 /11 /novembre /2008 06:14

JJE

Ceux qui en huant Ségolène Royal samedi au Congrès de Reims, ont effectivement hué Jean Jaurès qui disait dans un de ces discours « qui par cette exigence suprême suffira à rallumer tous les soleils »*, sifflent aussi le discours de Ségolène Royal à Toulouse lors de la campagne des Municipales qui enjoignait l'équipe de Pierre Cohen de gagner la Ville pour y rallumer tous les soleils, ce qui là n'avait recueilli aucune remarque dans la salle.

* "Rallumer tous les soleils" est un recueil des discours, textes et articles de Jaurès paru le : 19/01/2006- Editeur : Presses de la Cité - Collection : omnibus

Ils sifflent aussi, et c'est le plus croustillant, le livre d'Elisabeth Gigou « Rallumer les étoiles » Caman Levy Déc 2006 !!!

Une autre citation de Jaurès peut être ?

« Le courage, c'est de chercher la vérité et de la dire, c'est de ne pas subir la loi du mensonge triomphant qui passe et de ne pas faire écho contre son âme aux applaudissements imbéciles et aux huées fanatiques. »

Partager cet article
Repost0
17 novembre 2008 1 17 /11 /novembre /2008 17:13


Bonjour à tous,

Suite au congrès de Reims...




I. Vous trouverez ci-dessous 8 points à diffuser pour argumenter en faveur d'un vote "Ségolène Royal" jeudi prochain :

1- Nous avons conscience du décalage entre ce qui se passe dans le monde, dans le pays et ce qui s'est passé au Parti Socialiste. Cela prouve simplement qu'il faut que notre formation politique change. Change ses codes, ses comportements, ses méthodes. C'est de cela dont les militants vont décider jeudi (et éventuellement vendredi) prochain. Cela prouve aussi que notre formation est vivante et qu'elle débat. Cette vie démocratique doit être mieux accompagnée, moins douloureuse et plus constructive.

2- Ségolène Royal et son équipe ont tout tenté pour rassembler et ils continuent de le faire. Sur le fond, nous avons soumis un document de travail aux autres motions qui explique clairement nos positionnements, nos éventuelles divergences et nos toujours possibles rapprochements.

3- Nous continuons le rassemblement par une proposition très claire : nous associerons tous les talents de toutes les motions pour combattre la droite, pour proposer et pour nous faire entendre, ici en France, mais aussi en Europe et sur la scène internationale. 
4- Les militants (de toutes les motions) refusent la personnification du débat et souhaitent le renouvellement profond du Parti, la fin des vieilles méthodes, de l'opacité des tractations, du centralisme de la direction. C'est ce que Ségolène Royal, Vincent Peillon et leur équipe souhaitent également.

5- Ségolène Royal a la volonté de mettre en avant une nouvelle gouvernance de notre parti, renouvelée, rajeunie, resserrée et transparente. C'est une équipe qu'elle met en avant, et non une personne.

6- Cette équipe solidaire qui agira collectivement met en avant à la fois une nouvelle génération (Delphine Batho, Najat Belkacem, Aurélie Filippetti, Vincent Peillon, Manuel Valls, etc.), des élus expérimentés (Jean-Louis Bianco, François Rebsamen, etc.), et des élus de terrain (Éric Andrieu, Dominique Bertinotti, Gérard Collomb, Jean-Noël Guérini, Jean-Jack Queyranne, etc.).

7- Tout au long du congrès, l'équipe de la motion E a joué à chaque fois la carte de la transparence. Ségolène Royal a ainsi annoncé très clairement devant l'assemblée des délégués ce qui allait être dit par les porteurs de notre motion lors de la commission des résolution (la nuit du samedi au dimanche). Cette transparence sera garantie pour toutes les discussions internes de notre parti.

8- Nous sommes fiers d'être socialistes et Ségolène Royal est la première à porter le socialisme du 21ème siècle : nous avons besoin sur certains sujets d'une certaine radicalité, par exemple pour empêcher les licenciements des entreprises largement bénéficiaires recevant d'importantes aides publiques, en les conditionnant. Mais nous savons aussi qu'il faut renforcer l'efficacité économique des entreprises, favoriser un apaisement des relations sociales, créer un environnement général favorable à une activité économique saine. Cela implique de l'ambition, du pragmatisme, des valeurs fortes et n'est pas contradictoire avec le fait d'être ancré à gauche.



II. Vous trouverez ci-dessous 8 orientations proposées par Ségolène Royal et son équipe :

1- Par la clarification de nos procédures, mettre un terme effectif aux échanges violents entre nous quand le vrai combat est face à la droite.

2- Respecter les militants, leurs votes, leur travail, et mettre à profit leurs compétences et ceux des territoires, avec un système ascendant et non descendant au sein du parti.

3- Respecter strictement la parité, et consacrer les 8 millions d'euros d'amende notamment à la baisse de nos cotisations pour les plus démunis (pour avoir demain 400 ou 500 000 militants actifs et bien formés) et pour mettre en place des universités populaires de la connaissance.

4- Ouvrir notre parti à la société pour qu'il en soit le plus représentatif (et ouvert à toutes les diversités), pour le re-connecter à sa base et aux associations.

5- Être à nouveau présent dans toutes les luttes aux côtés des victimes de la politique destructrice de la droite. Par ailleurs, la première initiative que nous prendrons si Ségolène Royal est élue est l'organisation d'un forum global pour discuter en parallèle du G20 avec les forces sociales, associatives, les consommateurs, chefs d'entreprises, etc. pour débattre et acter de nos propositions face à la financiarisation de l'économie et aux dérives de la spéculation.

6- Réussir à fédérer toute la gauche quand cela est nécessaire, comme nous avions réussi à le faire lors de l'élection présidentielle où même Arlette Laguiller avait appelé à voter pour nous.

7- Ne pas avoir peur de constituer un nouveau front populaire (peut-être lors de la prochaine élection présidentielle, si les militants le votent), de la gauche de la gauche aux démocrates, pour mobiliser toutes les forces progressistes face au sarkozysme.

8- Être fiers d'être socialistes. Cela suppose notre fierté des progrès sociaux portés par les socialistes depuis 70 ans : les congés payés, le CNR et Jean Moulin, l'abolition de la peine de mort avec Robert Badinter, le RMI avec Michel Rocard, la CMU avec Martine Aubry, le PACS avec Lionel Jospin et nos victoires locales avec François Hollande. Cela suppose aussi que nous n'avons pas peur d'assumer aujourd'hui le socialisme du 21ème siècle et notre mobilisation constante en faveur des Français, avec nos dizaines de milliers d'élus et de militants qui œuvrent chaque jour pour le progrès social sur leurs territoires.

=> Au moment où la crise financière aggrave les souffrances, ici et dans le monde, la France attend les socialistes. Elle les appelle. Ils doivent répondre, forts, déterminés, audacieux, énergiques et ambitieux pour la France et pour l'Europe. 

--------

Amitiés socialistes et bonne campagne !


L'équipe de coordination de la motion E.
Partager cet article
Repost0
17 novembre 2008 1 17 /11 /novembre /2008 08:21
Qu'on le veuille ou non, qu'on l'aime ou que l'on ne l'aime pas, Ségolène - dans un discours de trente-cinq minutes - a prouvé non seulement qu'elle était une femme politique novatrice, mais encore qu'elle était une femme politique courageuse.

En affrontant une salle largement acquise à M. Aubry (qui avait fait la retape, pour l'occasion), elle a tour à tour démoli la maire de Lille qui fustige l'alliance avec le MoDem tout en s'alliant à Lille avec lui, et pris au mot le maire de Paris en proposant de soumettre cette question - si elle devait se poser, dans trois ans - aux militants.

Certaines mauvaises langues auront beau dire que la question des alliances a été tranchée par le vote du 6 novembre (70 % des militants désapprouveraient cette alliance au centre). C'est une erreur grossière : les militants ne se prononçaient pas là-dessus.

J'entends déjà ceux qui me diront : "Il fallait opter pour une ligne politique". Mais une ligne politique est mouvante, en fonction des circonstances, du temps, de l'opportunité. Elle n'est pas statique ou immobile. Fr. Mitterrand n'a jamais été arc-bouté sur une ligne politique. C'est ce qu'a voulu dire la présidente de la région Poitou-Charentes.

Mais, ce qui m'a le plus choqué, devant mon téléviseur (et je l'avoue, j'ai parfois eu le frisson), ce sont les huées, les lazzis, quand elle a dit : "Il nous faut prendre soin de notre parti et pour cela il va falloir nous guérir nous-même, nous soigner", ou bien : "Il faudra rassembler nos tendresses, nos colères et nos indignations", ou bien encore : "Nous voulons un parti fort, n'ayons pas peur des militants, n'ayons pas peur d'une invasion de militants"...

Conspuer quelqu'un qui prône la réconciliation, l'amour entre soi, la fraternité (qui est tout de même inscrite sur les frontons de nos édifices), cela montre le degré zéro auquel est arrivé le Parti socialiste. Les Français sont consternés par tout cela. Les vieux socialistes auront réussi une chose : rendre plus aimable S. Royal. Plus ils tapent sur elle, plus cela la renforce !

P. Moscovici affirme : "C'est un discours plein de fulgurances et de béances. Il y a un problème, c'est un discours assez décalé. Je vois que c'est très clivé, sa personnalité divise. Cela va nuire au vivre ensemble du parti et ce n'est pas possible pour le parti. Il faut réfléchir à une solution."

Le député du Doubs n'a pas compris que nous assistions à une mutation politique, une autre façon de faire de la politique. Les meetings et les congrès organisés de la même manière depuis des décennies, c'est terminé. S. Royal est en train de réinventer la politique à gauche, elle est en train de réinventer la gauche.

Ce congrès de Reims restera dans l'Histoire, comme celui de Tours. Car ce que le PS est en train de faire, c'est de jeter en dehors de lui-même un pan entier de socialistes qui veulent changer. Si S. Royal continue d'être aussi haïe, maltraitée et avec elle les militants qui la soutiennent, le PS se fera hara-kiri. Le peuple français ne le suivra plus.

L'ex-candidate a marqué la vie politique française et la gauche. Plus rien ne sera comme avant. Rejeter la main qu'elle tend aux autres motions sera(it) suicidaire pour le PS. Et le pire, c'est qu'il est prêt à se tuer. Plutôt se tuer que de confier Solférino à S. Royal ! La haine est plus forte que le rassemblement, malgré les difficultés des Français, malgré les défis nouveaux que pose la crise financière, malgré le devoir d'innovation que nous imposent les difficultés climatiques et écologiques.

C'était un grand discours aujourd'hui qu'a prononcé S. Royal à Reims. Un discours qui fera date, un discours fondateur. Que les autres dirigeants en prennent de la graine et réfléchissent aux enjeux auxquels le Parti socialiste est confronté ! Il en va de sa survie politique, électorale et militante. Ségolène l'a bien compris.
Partager cet article
Repost0
17 novembre 2008 1 17 /11 /novembre /2008 08:11
Profession de foi
pour l'élection
du Premier secrétaire national
du Parti socialiste
Jeudi 20 novembre 2008




Chèr-e-s camarades,


Au moment où la crise financière aggrave les souffrances, ici et dans le monde, la France attend les socialistes. Elle les appelle. Nous devons répondre, forts, déterminés, audacieux, vigoureux, énergiques.

La parole vous est aujourd'hui redonnée. Immense responsabilité, car c'est vous qui, par votre vote, allez forger l'unité du Parti socialiste et donc sa capacité à se faire entendre et à agir dans le tumulte.

Oui ou non voulons-nous ensemble écrire une nouvelle page de notre histoire, vibrante et populaire ?
Oui ou non voulons-nous bâtir ensemble le socialisme du XXIème siècle ?
Oui ou non, notre parti va-t-il s’ouvrir à toutes les diversités et devenir meilleur que la société qu’il prétend transformer ?
Oui ou non le peuple que j’ai vu tellement présent et attentif au cours de ces derniers mois va-t-il venir vers nous car nous aurons su lui redonner l’espoir ?

Notre avenir est à portée de main. A nous de le saisir. Nous avons les talents individuels. A nous de tisser le talent collectif.

Je veux mettre en valeur une nouvelle génération d'hommes et de femmes, de toutes origines et de tous les territoires. A nous de leur ouvrir les responsabilités et de demander aux anciennes générations d'être là et de leur transmettre l'expérience.
Vous savez que le Parti socialiste peut devenir un grand parti populaire. A nous d’accueillir toutes celles et ceux qui veulent combattre les dégâts du sarkozysme et construire un autre futur.

On nous a fait un procès intellectuellement déloyal sur la question des alliances. Pourtant notre motion est parfaitement claire : l'union de la gauche d'abord, la main tendue à tous les humanistes pour battre la droite, ensuite. Cette question sera soumise à une consultation directe des militants. Je m'y engage.

Vous savez que les jeunes des quartiers populaires et de toutes les couleurs sont massivement venus voter pour nous à l'élection présidentielle. Je les espère au Parti socialiste. A nous d'inventer de nouvelles formes de militantisme.

Les Français nous attendent. La gauche nous attend. La force d'être nous-mêmes et la force de changer dépendront de la force que par votre vote, chacune et chacun d’entre vous nous donnera jeudi prochain. Donnez-nous cette force et cette légitimité qui nous permettront de reprendre l'ouvrage, pour que tous les talents de toutes les motions se rassemblent pour combattre la droite, pour proposer et pour se faire entendre, ici, mais aussi en Europe et sur la scène internationale.

Je vous appelle toutes et tous à venir voter. Car aujourd’hui c’est vous, militantes et militants, qui détenez les clés de notre avenir commun et donc de celui de millions de citoyens qui nous attendent, parfois désespérément. C’est vous qui pouvez donner l’élan de la transformation. Alors, allons-y. Nous pouvons le faire. Nous devons le faire. Nous sommes les socialistes. Nous allons retrouver la fierté de l'être tous ensemble, unis et offensifs. Vous pouvez compter sur moi comme nous comptons sur vous.


Amitiés socialistes,


Ségolène Royal et Vincent Peillon, et toute l'équipe


www.fiersdetresocialistes.org



 
 
Partager cet article
Repost0
16 novembre 2008 7 16 /11 /novembre /2008 17:25
Partager cet article
Repost0
16 novembre 2008 7 16 /11 /novembre /2008 17:18
Partager cet article
Repost0
16 novembre 2008 7 16 /11 /novembre /2008 17:09
Partager cet article
Repost0
15 novembre 2008 6 15 /11 /novembre /2008 09:39
PS : Ségolène Royal officiellement candidate - Nouvel Obs
Manuel Valls annonce la candidature de Ségolène Royal au poste de Premier secrétaire du Parti socialiste avec Vincent Peillon comme premier secrétaire délégué. L'annonce en images.
Partager cet article
Repost0
15 novembre 2008 6 15 /11 /novembre /2008 09:13





Delphine Batho, Geneviève Gaillard et Jean Grellier n'ont pas été entendus. Hier, l'Assemblée nationale n'a pas adopté l'amendement défendu par la députée du Mellois et cosigné par ses deux collègues socialistes. Cet amendement visait à permettre aux salariés de la Camif et des entreprises sous-traitantes de bénéficier du contrat de transition professionnelle (CTP) lequel pouvait leur assurer 90 % de leur salaire durant un an. Selon Delphine Batho, le gouvernement s'est néanmoins engagé à ce que le Parlement examine, sous quinze jours, l'extension de l'expérimentation de ce dispositif, ce qui pourrait permettre de l'étendre aux victimes du naufrage de la Camif. Les trois députés promettent de rester mobilisés pour défendre cette exigence. « Les salariés comme les élus locaux sont fatigués des effets d'annonce sans lendemain alors que le président de la République avait annoncé l'extension immédiate des CTP », commente Delphine Batho.
Partager cet article
Repost0