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  Notre drapeau et notre hymne républicain n'appartiennent pas au front national mais à tous les Français.



 







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13 novembre 2008 4 13 /11 /novembre /2008 14:32

VP-SR"Halte au feu!", a lancé jeudi matin Vincent Peillon, bras droit de Ségolène Royal, en dénonçant "les conciliabules d'arrière-boutique" à la veille de l'ouverture du congrès du PS à Reims.

"Le Parti socialiste, ce n'est pas l'Unef (syndicat étudiant où certains responsables socialistes ont fait leurs classes, ndlr) et ce n'est pas l'Unef qui va le diriger, c'est un grand parti de gouvernement", a déclaré M. Peillon sur RMC et BFM-TV alors que Mme Royal, arrivée en tête du vote des militants, est menacée par d'éventuelles alliances entre ses concurrents, Bertrand Delanoë, Martine Aubry et Benoît Hamon.

"J'appelle Bertrand Delanoë, Martine Aubry, Lionel Jospin (soutien de M. Delanoë et qui ne cache pas son hostilité à Mme Royal) à faire très attention à ce qui est en train de se produire au parti. C'est un parti de gouvernement qui doit rester à cette hauteur" or "il est dans des mains qui ne sont pas très responsables ces jours-ci".

Selon l'eurodéputé, depuis 2002 et l'échec de Lionel Jospin dès le premier tour de la présidentielle, "on ne fait rien, on bidouille". "Halte au feu!", a-t-il lancé, en dénonçant "des conciliabules d'arrière-boutique".

Alors que la stratégie d'alliance avec le MoDem envisagée par Mme Royal est très critiquée, M. Peillon a tenu à préciser qu'"en l'état actuel des choses il ne peut pas y avoir aujourd'hui d'alliance avec le MoDem puisque le MoDem ne sait pas s'il est à gauche ou à droite". "Le jour où le MoDem aura clarifié sa position", sera prêt à "entrer dans la gauche", c'est-à-dire "dans un rapport avec le Parti socialiste mais aussi avec les alliés traditionnels du PS, le Parti communiste les Verts etc., la discussion s'ouvrira".

Source : AFP

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13 novembre 2008 4 13 /11 /novembre /2008 09:44


Delphine Batho présente aujourd'hui à l'Assemblée nationale un amendement cosigné par les deux autres députés socialistes des Deux-Sèvres. Objet : permettre aux salariés licenciés de la Camif et des entreprises sous-traitantes de bénéficier du contrat de transition professionnelle (CTP), synonyme d'une rémunération à hauteur de 90 % du salaire pendant un an.
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13 novembre 2008 4 13 /11 /novembre /2008 08:19
Chères amies, chers amis,

Ségolène Royal était l'invitée du journal télévisé de TF1 ce soir.

Voici ce qu'elle y a dit : " Les militants n'ont pas voté pour éliminer quiconque, mais pour additionner nos talents et nos capacités. J'ai donc écoutés Bertrand, Martine, Benoît et les autres, pour prendre en compte avec respect et attention les idées auxquelles ils tenaient. Aujourd'hui, je leur ai écrit et je leur ai envoyé un document de travail qui reprend l'ensemble les idées auxquelles ils tiennent pour faire émerger des convergences. Cet effort de rassemblement, je le ferai jusqu'à moment du dépôt des candidatures, samedi prochain. Ce qui m'intéresse, c'est de rassembler l'équipe des meilleurs responsables politiques. "



Amitiés,

L'équipe de Ségolène Royal



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12 novembre 2008 3 12 /11 /novembre /2008 16:25

Ségolène Royal sera l'invitée du Journal télévisé de TF1 ce soir à 20 heures.

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11 novembre 2008 2 11 /11 /novembre /2008 10:44

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Remis aux représentants des différentes motions par Ségolène Royal, ce texte intitulé « Document de travail ouvert » est depuis lundi 10 novembre entre les mains des principaux dirigeants du parti socialiste. Il se propose de « structurer la réflexion et les échanges » afin de  servir de base aux discussions préparatoires à la constitution d’une  majorité au congrès de Reims.
    Il vise, par la même occasion, à déminer le terrain. Si la nécessité de baisser le prix des cotisations est réaffirmé, aucun montant n’est avancé. Le seuil de 20 euros est donc négociable. Surtout, ce texte prend soin de préciser que tout élargissement des alliances devra intervenir après avoir rassemblé la gauche. Une façon d’évacuer le procès intenté contre Ségolène Royal et prévenir l’apparition d’un front « anti-Royal » sur le thème du refus de l’alliance avec le MoDem.

  Voici son contenu in extenso.

«  Pour l’unité et le renouveau du Parti Socialiste Les militants ont voté le 6 novembre. Par leur vote, ils ont affirmé leur désir d’une transformation profonde de notre parti et leur soif de fraternité et d’unité. Ils l’ont fait dans un contexte où le monde change, où le libéralisme échoue et où monte la demande d’un projet de gauche. Face aux souffrances sociales qui s’accumulent, nos responsabilités ne peuvent plus être différées. Il y a urgence. Agir pour que les valeurs humaines s’imposent, porter haut l’exigence de justice sociale et d’émancipation de la personne humaine, c’est depuis toujours l’ambition des socialistes. Nos valeurs sont d’une vibrante actualité. Le temps est venu d’écrire une nouvelle page de notre histoire. Celle du socialisme du 21ème siècle. La France a besoin d’un Parti socialiste à la hauteur des grands choix politiques qui l’attendent, capable de faire bloc pour s’opposer et proposer. Le congrès de Reims doit être le point de départ d’un patient et passionnant travail de reconquête idéologique autour de nos valeurs et de nos idées face à la droite, d’élaboration programmatique fondée sur une démocratie militante, participative et active, de mobilisation pour attirer les forces de la jeunesse, les salariés, les catégories populaires et moyennes et construire un nouveau rapport de force politique. Un travail considérable nous attend. Nous proposons de mettre le parti en mouvement autour de quatre grands chantiers destinés à redonner au PS toute sa place auprès des Français. Avec la ferme volonté de mettre en avant une équipe cohérente, voulant vraiment rénover et fédérant tous les talents, toutes les intelligences, toutes les convictions. Tous ensemble, les socialistes peuvent réussir cette transformation nécessaire

. 1 - Répondre d’abord à l’urgence de la crise financière et sociale Nombreux sont celles et ceux, personnes âgées, jeunes, salariés précarisés, chefs de PME qui ressentent durement les conséquences de la crise. Nous devons leur dire qu’une autre politique est possible. C’est au Parti socialiste de la proposer. La France entre en récession. Nous devons partout sur les territoires évaluer les effets de cette crise. Ce bilan, dressé par les fédérations en lien avec les élus locaux, sera le préalable à l’organisation d’un grand forum global associant le mouvement social, syndicats, représentants des services publics, salariés en lutte, entrepreneurs, associations, universitaires, altermondialistes, consommateurs, petits épargnants… Ce forum global aura une dimension européenne. La réponse à la crise du capitalisme n’est pas le domaine réservé des cercles technocratiques et des sommets intergouvernementaux. L’efficacité de la réponse en dépend.

 2 - Cinq orientations pour bâtir le socialisme du 21ème siècle
1) La finance doit être au service de l’économie productive et non pas au service d’elle-même. Et l’économie productive doit être au service de l’épanouissement humain. Cela suppose un nouvel 2
ordre économique et social juste, contre la précarité et pour la société du travail bien rémunéré, rééquilibrant le rapport capital/travail. 2) Il faut un Etat préventif et stratège qui change les rapports de force. Distribuer après coup ne suffit plus. Cela suppose un nouveau modèle de croissance associant dynamisme économique, politique industrielle, progrès social et écologie. 3) Faire partout le choix écologique de l’excellence environnementale. Urgence sociale et urgence environnementale sont désormais liées. Cela suppose de favoriser une croissance sobre qui tienne compte de la rareté des ressources, d’organiser l’après-pétrole et de promouvoir de nouvelles révolutions technologiques. 4) Oser la démocratie jusqu’au bout et refonder le pacte républicain. Cela suppose de nouvelles institutions, de nouveaux pouvoirs pour les territoires, une réelle démocratie sociale et participative, le pluralisme médiatique, l’indépendance de la justice. Cela suppose d’avoir pour objectif de l’égalité réelle et de reconnaître la France métissée comme une chance. 5) Réorienter l’Europe pour la relancer.

 3 - Faire du Parti Socialiste une force neuve Notre objectif est de faire du Parti Socialiste le grand parti démocratique, populaire et de mobilisation sociale dont la France a besoin. Le respect du vote des militants sera la règle absolue, car c’est la condition première d’une unité nouvelle des socialistes. Nous voulons construire un parti de masse. Le montant de l’adhésion ne doit plus être un obstacle au militantisme qui est d’abord un don de temps. Des responsabilités seront décentralisées aux fédérations pour que le parti fonctionne de façon ascendante en s’appuyant sur notre action concrète dans les régions, les départements et les communes. Des dotations financières plus importantes leur seront attribuées aux fédérations. Une université populaire de la connaissance sera créée dans chaque région pour permettre à tous les citoyens d’accéder à la culture politique qui permet à chacun d’avoir les outils de compréhension et d’analyse pour intervenir dans les débats d’idées. Le parti organisera de nouvelles formes de militantisme : réseaux de solidarité concrètes, actions en direction des salariés, implantation dans les quartiers, place des nouvelles technologies, recrutement de nouveaux adhérents etc.

4 - Fédérer la gauche La stratégie des socialistes a toujours consisté d’abord à rassembler la gauche, toute la gauche, autour d’un contrat de gouvernement. Celui-ci doit être préparé par un comité d’action de la gauche, ouvrant la perspective à terme d’une fédération. Ce comité ouvrira largement ses débats en associant les militants, en organisant des campagnes de mobilisation et d’actions. C’est à partir de cette stratégie que les socialistes ont vocation à s’adresser seulement ensuite à toutes les forces susceptibles de se reconnaître dans le projet socialiste pour battre la droite. »

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11 novembre 2008 2 11 /11 /novembre /2008 10:06

SRO

Ségolène Royal annoncera mercredi les propositions de sa motion "pour la gouvernance du PS", a-t-elle indiqué lundi au Sénat à l'issue de la réunion de ses représentants en vue du congrès de Reims.

Ce sera "un texte de base" ayant "vocation à être enrichi" par "des idées complémentaires", a-t-elle souligné devant la presse.

"Je dirai mercredi nos propositions pour la gouvernance du PS", a dit l'ex-candidate à l'Elysée en sortant de cette réunion d'environ deux heures.

Elle a déclaré que sa motion préparait ce texte "pour récapituler la ligne politique, essentiellement autour de la rénovation, du changement".

Cette motion est arrivée en tête avec 29% des voix lors du vote des militants socialistes le 6 novembre.

Mme Royal a résumé l'objectif du texte en préparation d'une formule: "quelles sont les mesures concrètes, immédiates, qu'il faudrait rapidement prendre pour remettre en mouvement le Parti socialiste et la gauche".

Concernant l'enrichissement du "texte de base", elle a indiqué, sans plus de précisions: "j'ai demandé à Martine (Aubry, ndlr), à Bertrand également (Delanoë, ndlr) de me dire les points essentiels".

"C'est un travail studieux, attentif, appliqué, méthodique", a assuré la présidente de Poitou-Charentes. Il s'agit, a-t-elle encore dit, de "remettre en mouvement le PS et autour du PS, toute la gauche".

Ségolène Royal a par ailleurs affirmé que la question des relations avec le MoDem "ne doit pas servir de prétexte" pour "justifier un refus de convergences" des autres motions socialistes avec la sienne.

"Je ne veux pas qu'il y ait des prétextes ici ou là ou des malentendus qui pourraient justifier un refus de convergences. Par exemple, la question du MoDem ne doit pas servir de prétexte".

L'ex-candidate à la présidentielle a affirmé avoir "clairement dit, dans notre projet, qu'il faut d'abord reconstruire un Parti socialiste fort pour ne pas avoir peur de s'ouvrir aux autres".

Elle a évoqué "une ambiance concentrée, respectueuse des autres. C'est dans cet état esprit que je rencontre les partenaires amis des autres motions, des autres projets pour retrouver des plate-formes d'alliances qui nous permettent de travailler tous ensemble".

"J'avais dit que je rencontrais d'abord les partenaires des autres motions et projets. Nous sommes tous socialistes, donc ce qui nous rassemble est plus important que ce qui nous divise".


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9 novembre 2008 7 09 /11 /novembre /2008 17:15
Sacrée Ségolène !

Gérard Carreyrou, le samedi 8 novembre 2008 à 04:00

 

Sacrée Ségolène Royal ! La plupart des pointeurs socialistes et la majorité des analystes politiques (pas ici) la donnaient perdante et expliquaient avec conviction comment, après avoir perdu la bataille présidentielle face à Nicolas Sarkozy il y a dix-huit mois, Mme Royal avait perdu le cœur des militants et était en passe de devenir le loser n° 1 de la famille socialiste.

N’en déplaise aux prévisionnistes, Ségolène a gagné la bataille des motions du congrès de Reims en se plaçant première avec une confortable avance sur le duo de ses rivaux Bertrand Delanoë et Martine Aubry, et cette victoire n’est pas conjoncturelle mais décisive et lourde de conséquences pour les socialistes.

1. La victoire de Ségolène Royal marque la fin du Parti socialiste construit à Epinay par François Mitterrand il y a trente-sept ans. Ce parti a vieilli sans se renouveler et il meurt de ses scléroses. Le vieil appareil rouillé s’effondre en entraînant avec lui un cortège impressionnant de caciques et de chefs à plumes ! Entrent ainsi au cimetière des éléphants quatre anciens Premiers ministres de Mitterrand : Pierre Mauroy, Laurent Fabius, Michel Rocard et Lionel Jospin, qui soutenaient les motions perdantes. Mais surtout cette victoire de Ségolène marque la fin des espoirs présidentiels de deux poids lourds du PS, le maire de Paris Bertrand Delanoë, vainqueur annoncé un peu trop vite, et l’homme qui dirigea le parti pendant onze ans, François Hollande.

M. Hollande ne perd pas seulement la bataille politique, il perd aussi celle de l’élégance et du respect des engagements puisqu’il est tout à la fois mauvais perdant et qu’il revient sur sa promesse de se rallier à la motion arrivée en tête. François Hollande ferait bien de s’inspirer des exemples de John McCain et de Hillary Clinton à défaut de pouvoir se comparer à Obama !

2. Face aux vaincus, Ségolène Royal a gagné par ses qualités personnelles, son style renouvelé et sa capacité d’adaptation aux circonstances. Qualités personnelles, sa persévérance apprise à l’école de François Mitterrand malgré les échecs et les attaques, sa rage de vaincre érigée par elle en « ragitude ». Style renouvelé que celui de la télévangéliste du Zénith brocardée par toute une classe politique mais appréciée par une bonne partie du peuple de gauche. Capacité d’adaptation enfin : quand la crise économique et financière est survenue, Mme Royal a su foncer sur des propositions concrètes tandis que les autres s’enfermaient dans la cuisine politique.

Mme Royal a incarné la volonté de changement et le désir de nombreux militants socialistes de casser leur vieille maison comme autrefois la vieille SFIO de Guy Mollet pour la reconstruire autrement. Toute tentative de lancer au congrès de Reims une opération TSS (« tout sauf Ségolène ») me semble désormais vouée à l’échec, ne serait-ce qu’en raison des claques gigantesques reçues par MM. Delanoë et Hollande.

Edition France Soir du samedi 8 novembre 2008 n°19948 page 4

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9 novembre 2008 7 09 /11 /novembre /2008 14:17
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9 novembre 2008 7 09 /11 /novembre /2008 12:05

sondage fille

Selon un sondage de l'IFOP à paraître dans le Journal de Dimanche, 26% des sympathisants PS et 23% des sympathisants de gauche souhaitent que l'ex-candidate socialiste à la présidentielle mène la gauche face au chef de l'Etat.

Derrière, arrivent à égalité Dominique Strauss-Kahn et Bertrand Delanoë (21% des sympathisants socialistes, et respectivement 18 et 19% des sympathisants de gauche).

Martine Aubry obtient 11% aussi bien chez les sympathisants socialistes que de gauche, derrière Olivier Besancenot (12% chez les sympathisants socialistes, 20% chez les militants de gauche). Benoît Hamon recueille 6% dans les deux échantillons.

Le sondage a été réalisé les 7 et 8 novembre, par téléphone, sur un échantillon de 959 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas. Notice détaillée disponible auprès de la commission nationale des sondages.

Source : AFP

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8 novembre 2008 6 08 /11 /novembre /2008 09:04
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